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Machine à rouler pour former des pièces tubulaires

Nombre Parcourir:26     auteur:Éditeur du site     publier Temps: 2018-07-02      origine:Propulsé

enquête

Les images (9)

Rouleuse de formage (1)Rouleuse de formage (2)

Rouleuse de formage (3)Machine a rouler pour le formage (4)

Rouleuse de formage (5)Rouleuse de formage (6)

Rouleuse de formage (7)Rouleuse de formage (8)

Rouleuse de formage (9)

La description

  La présente invention concerne un appareil pour former une pièce à usiner tubulaire. L'invention est utile dans la fabrication d'articles tels que des poussoirs de soupape et des lève-soupapes hydrauliques couramment utilisés dans les moteurs à combustion interne et dans lesquelscorps tubulaire ou jupe est nécessaire d'avoir un ou plusieurs cannelures dans sa paroi.

  La présente invention concerne en particulier la fabrication d'un poussoir de vanne du type hydraulique et notamment par un procédé plus économique que les procédés actuellement utilisés.

  Un poussoir de soupape comprend généralement un élément de corps tubulaire externe et un élément de plongeur tubulaire interne, lesquels éléments sont conçus et assemblés de manière à piéger le fluide hydraulique entre eux et à former ainsi une connexion fonctionnelle entre la camedu moteur et de la tige de poussée. Jusqu'à présent, divers procédés ont été utilisés pour la fabrication de tels poussoirs. Habituellement, le corps et le piston du poussoir sont formés à partir de pièces moulées ou de barres pleines. Cela nécessite beaucoupopérations d'usinage et de meulage.

  Il a été proposé de former de tels poussoirs à partir d'ébauches tubulaires ayant des épaisseurs de paroi suffisantes pour permettre d'usiner ces éléments à leur forme et à leurs dimensions appropriées. Les ébauches tubulaires sont découpées dans des tubes sans soudure ou des tubes soudés;et puisque ces éléments sous forme finie ont généralement des capuchons d'extrémité soudés, l'acier utilisé est à faible teneur en carbone; à savoir, S.A.E. 1010 ou 1020. Avec de tels aciers, il est difficile de produire une finition lisse avec desopérations d'usinage; il faut donc recourir à des opérations de meulage coûteuses pour obtenir la finition souhaitée. En outre, les tubes en acier sans soudure ne sont généralement pas concentriques à quelques milliers de pouce près; et donc excessifle matériau doit être enlevé par meulage. La rectification, et en particulier la rectification interne, est une opération coûteuse, non seulement du point de vue du temps consommé, mais également du point de vue de l'investissement en capital. Dans le cas de tubes soudés,Des problèmes se posent lors du retrait du flash de soudure de l'intérieur et de l'extérieur du tube.

  La présente invention concerne un procédé de fabrication de pièces tubulaires formées, telles que des poussoirs de vanne, dans lequel très peu d'usinage est nécessaire, et dans lequel la quantité de meulage nécessaire est réduite à un minimum absolu.

  Plus précisément, l'invention envisage une machine pour fabriquer des corps de poussoirs, des pistons plongeurs et des pièces similaires dans laquelle la configuration nécessaire de la paroi latérale de la pièce à travailler est produite par une opération de laminage plutôt que par uneopération d'usinage. Ainsi, des tolérances plus proches peuvent être obtenues par rapport à l'usinage, et la nécessité de laisser un stock de nettoyage suffisant pour éliminer les traces d'outil inévitables avec l'usinage est éliminée. En même temps lel'opération de laminage est réalisée de manière et avec un appareil tel que la nécessité de produire un fini lisse sur certaines surfaces par meulage est totalement éliminée et que le meulage d'autres surfaces est réduit au minimum.

Un autre objet de l'invention réside dans la fourniture d'un nouvel appareil pour former de tels corps de poussoir de soupape de manière économique et à un taux de production élevé.

Un autre objet de la présente invention consiste à proposer un nouvel appareil pour le roulage de corps de poussoirs de soupapes dans lequel le transfert automatique d'ébauches et de pièces finies est doté d'un temps d'inactivité minimum.

  Un autre objet de la présente invention est de proposer un appareil amélioré pour le compactage radial des parois d'une pièce à usiner tubulaire et pour un produit amélioré de celle-ci.

  Un autre objectif est de fournir un agencement amélioré pour imprimer des mouvements coordonnés de manière hydraulique aux diverses pièces mobiles d'un laminoir automatique.

  Un autre objet est de fournir une machine à rouler automatique comportant des moyens pour amener des ébauches à la machine automatiquement et pour éjecter automatiquement les pièces finies.

  D'autres objets et avantages de la présente invention apparaîtront à la lecture de la description suivante, en référence aux dessins annexés dans lesquels une forme préférée de la présente invention est illustrée.

  Dans les dessins:

  La figure 1 est une vue en plan de dessus, partiellement en coupe, d'un appareil pour fabriquer une forme de corps de poussoir tubulaire.

  La figure 2 est une coupe verticale de l'appareil prise le long de la ligne 22 de la figure 1.

  La figure 3 est une élévation, partiellement en coupe, d'une ébauche de corps tubulaire avant laminage.

  La figure 4 est une vue en plan fragmentée de l'appareil montrant la première opération de laminage d'une partie de l'ébauche tubulaire afin de réduire son diamètre.

  La figure 5 est une vue partielle de l'appareil illustrant la deuxième étape consistant à faire rouler un épaulement dans l'ébauche tubulaire en vue de l'étape suivante consistant à bouder longitudinalement la partie réduite du tube.

  La figure 6 est une vue partielle de l'appareil montrant son tube après qu'il ait été bouleversé longitudinalement pour y former un épaulement interne.

  La figure 7 est une vue de face d'un laminoir automatique mettant en oeuvre une autre forme de réalisation de la présente invention.

  La figure 8 est une vue en bout de la machine représentée à la figure 7.

  La figure 9 est une vue de dessus de la machine représentée à la figure 7.

  La figure 10 est une vue en coupe partielle le long de la ligne 1-110 de la figure 9.

  La figure 11 est une vue en coupe partielle prise le long de la ligne 1111 de la figure 9.

  La figure 12 est une vue en coupe partielle le long de la ligne 12-42 de la figure 18.

  La FIGURE 13 est une vue en coupe partielle le long de la ligne 13-13 de la FIGURE 12.

  La FIGURE 14 est une vue en coupe partielle prise le long de la ligne 14-I4 de la FIGURE 13.

  La figure 15 est une vue en coupe selon la ligne 1515 de la figure 10.

  La figure 16 est une vue en coupe suivant la ligne 16-46 de la figure 9.

  La figure 17 est une vue en coupe suivant la ligne 1717 de la figure 15.

  La figure 18 est une vue partielle de face de la machine partiellement en coupe suivant la ligne 18-1'8 de la figure 12.

  La figure 19 est une vue en coupe suivant la ligne 1919 de la figure 12.

  La figure 20 est une vue en coupe fragmentaire d'une ébauche de pièce à travailler en position avant le formage.

  La figure 21 est une vue correspondant à la figure 20 après la fin de l'opération de formage.

La figure 22 est une vue schématique d'un système de motivation mécano-hydraulique faisant partie de la machine de la figure 7.

  La figure 23 est une coupe transversale montrant une ébauche de pièce à travailler en position avant le formage.

  La figure 24 est une vue correspondant à la figure 23 une fois le formage terminé.

  La figure 25 est une vue correspondant à la figure 24, montrant sous forme eXagg une pièce défectueuse.

La figure 26 est une vue agrandie correspondant à une partie de la figure 23.

  La figure 27 est une vue agrandie correspondant à une partie de la figure 24.

  La figure 28 est une vue agrandie correspondant à une partie de la figure 25.

  La figure 29 est une vue correspondant à la figure 21 montrant une configuration de pièce modifiée.

  En se référant plus particulièrement aux dessins, la figure 6 montre une pièce de fabrication tubulaire 3 pouvant former le corps ou la jupe creux d'un poussoir de soupape mécanique automobile et réalisée selon le procédé illustré à la Fig.FIGURES 1-6 des dessins. Ce corps de poussoir 3 commence comme une pièce cylindrique droite en acier à faible teneur en carbone ou en un autre tube ductile, comme illustré à la figure 3. Le flan est de préférence un tube en acier à faible teneur en carbone soudé.souhaité, peut être un tube sans soudure.

  Le flan 3 est placé sur les rouleaux opposés 5 et 6a, FIGURE 2. Le rouleau 5 comprend une paire de rouleaux entraînés par une source auxiliaire de puissance et montés sur un arbre commun 7 et logés dans le support fixe 8a. Rouleau6 :: comprend une paire de rouleaux entraînés par une source auxiliaire et montés sur un arbre commun 9 et logés dans un support fixe 10a. Les rouleaux 5 et 6a sont des rouleaux d'entraînement. Un rouleau de ralenti 11 est journalisé sur le support 12a (figure 1)porté sur la tige de piston 13, reliée au piston 14a dans le cylindre 15.

  Les arbres 17 et 18a sont agencés pour être déplacés à l'intérieur de la découpe 3, comme illustré sur la figure 4. 1, les arbres 17 et 18a sont montés à rotation sur des arbres de support 19 et 20a, respectivement. L'arbre 19 est fixé à son extrémité extérieure au piston 21dans le cylindre 22a. L'arbre 20a est fixé à son extrémité extérieure au piston 23 à l'intérieur du cylindre 24a. Le fluide sous pression admis dans le cylindre 22a par la conduite 25 déplace l'arbre, 17 vers la droite jusqu'à ce que l'épaule 26a bute à nouveau - extrémité 27 du flan 3a.

  Le fluide sous pression admis dans le cylindre 23 par la ligne 28!: Déplace l'arbre 18a vers la gauche jusqu'à ce que son épaulement circonférentiel 29 bute contre l'autre extrémité 30a du flan 3. Le fluide sous pression admis dans le cylindre par la ligne 16aprovoque la pression du rouleau fou 11 et sa rotation avec le tube 3 sur les rouleaux 5 et 6a. Ainsi, le rouleau 11 réduit le diamètre de la découpe 3 sur toute la largeur du rouleau 11 pour former une gorge annulaire 31, comme le montre la figure 4.

  On notera que la tige 18a a un diamètre légèrement inférieur au diamètre interne de l'ébauche 3, comme indiqué par le jeu 32a. Le rouleau 11 a deux fonctions: premièrement, comme décrit ci-dessus, il est utilisé pour dimensionner le flan 3. Le papier commercial sans soudureou un tube soudé est classé en fonction des tolérances sur le diamètre extérieur et le diamètre intérieur. Plus les tolérances sont respectées, plus la tubulure est chère. Ainsi, avec la méthode décrite ci-dessus, la tubulure moins chère avec de larges tolérances peut êtreutilisé, et en le soumettant au procédé décrit ci-dessus, une pièce peut être produite avec des tolérances très proches, permettant ainsi d’économiser considérablement sur le coût du matériau d’origine. Deuxièmement, ce rouleau 11 empêche le flan 3 de s’étendre lorsqu’il estsoumis à une pression sur chacune des extrémités lors de l'opération de refoulement qui apparaît plus loin dans cette description.

 Comme le montre la Fig. 1, le rouleau de formage 33 est monté sur un support 34a porté à l'extrémité extérieure de la tige de piston 35. L'extrémité intérieure de la tige 35 est reliée au piston 36a dans le cylindre 37. I

  Tandis que le rouleau 11 est entraîné en rotation par l’ébauche 3 à travers les rouleaux 5 et 6a, du fluide sous pression peut être admis dans le cylindre de rouleau de formage 37 par l’entrée 38a, entraînant ainsi le déplacement du rouleau de formage 33 vers l’ébauche 3 et les rouleaux 5 et 6a (vers la gauche).sur la figure 2), ce qui permet de faire rouler une rainure ou cannelure circonférentielle 39 dans le flan 3, comme illustré sur la figure .5. Etant donné que le flan 3 est confiné à ses extrémités 4 par les épaulements 26a et 29 des arbres 17 et 18a pendant toute l'opération de laminage des rouleaux 33et 11, et puisque ce confinement empêche l'allongement de l'ébauche 3, la section 101 (figure 6) dont le diamètre est réduit est épaissie par l'opération de laminage.

  Après l'opération de laminage illustrée à la figure 5, le rouleau 33 est rétracté en admettant du fluide sous pression dans le cylindre 37 à travers la conduite 43, la conduite 38a étant ouverte à l'échappement à ce moment. Pendant que la tonnelle 18a reste en place dans lel'extrémité droite de l'ébauche 3, un mâle 121 est déplacé vers le haut sur la figure 1 par un moyen manuel ou autre, non représenté. Le mâle 121 a une extrémité bifurquée 122a qui entoure la tige de piston 20a pour soutenir l'arbre 1810 contre le mouvement vers la droite.

  Les pièces sont montrées dans cette position sur la figure 6.

  Le fluide sous pression supérieure est ensuite admis par l'entrée 25 dans le cylindre 22a, déplaçant ainsi l'arbre 17 vers l'intérieur ou vers la droite, FIGURE 6, jusqu'à ce que l'extrémité 400 de l'arbre 17 entre en contact avec l'extrémité 41 de l'arbre 18a. Lorsque l'arbre 17 se déplace vers la droite ouaxialement du tube 3 de la position montrée sur la figure 5 à celle montrée sur la figure 6, un épaulement 26a appuie contre l'extrémité 27 de l'ébauche 3 et cette pression raccourcit la longueur du tube 3 et de l'ébauche 3 pour former l'épaulement a. Le rouleau 11 est maintenantrétracté en admettant du fluide sous pression dans le cylindre 15 par la conduite 42a, la conduite 16a étant ouverte à l'échappement à ce moment. Après que les rouleaux 11 et 33 ont été retirés de l’ébauche à la position montrée à la figure 1, l’arbre 17 et 18asont ensuite retirés en admettant du fluide sous pression dans leurs cylindres respectifs par les conduites 44a et 45, les conduites 25 et 28a étant ouvertes à l’échappement à ce moment. Les trous d’huile peuvent ensuite être percés ou perforés dans le flan 3 et le flan 3 peut alorsêtre rectifié dans une rectifieuse sans centre et compléter ainsi un corps 3 sous la forme générale représentée à la figure 6.

  En se référant maintenant aux figures 7 à 29, il est illustré une machine et un produit incorporant une autre forme de la présente invention. Dans cette forme de dispositif, la machine est conçue pour une exécution entièrement automatique du procédé deLa présente invention consiste à extraire les pièces brutes d'une goulotte d'alimentation par gravité et à livrer des pièces finies à une goulotte de sortie.

 La machine comprend une base 10 sous la forme d'un boîtier rectangulaire ayant une plaque supérieure plate et lourde 12 munie d'un bac de réception d'huile 14 autour de sa périphérie. La base 10 est munie de compartiments internes dont l’un indiquéen 16, forme un réservoir pour l’huile de refroidissement logée dans l’auge 14 et comporte un couvercle de nettoyage amovible 18 et une pompe de circulation montée sur garniture montée sur joint et vissée sur le fond du fond. Conduits de distribution de liquide de refroidissement appropriés,non représenté, peut conduire de la pompe 20 au voisinage de la pièce à traiter. L'embase 10 peut également être munie d'un compartiment 22 dans lequel est monté un réservoir sous pression ou accumulateur 24 formant une réserve plénière d'huile.sous haute pression et faisant partie d'un système de motivation mécanicohydraulique pour les différentes parties de la machine, comme cela sera décrit en détail ci-après.

  Sur la plaque supérieure 12 est montée une poupée fixe 26 coulée qui supporte une paire de barres de guidage arrondies 28. Les extrémités opposées des barres de guidage 28 sont supportées dans un support 30 qui est également fixé à la plaque supérieure 12. Fixé de manière ajustablesur les barres de passage 28, une tête de travail généralement triangulaire 32 est fixée en place par des vis de blocage coïncidentes appropriées, comme illustré en 34 sur la figure 11. Le montage sur les voies 28 de coulissement longitudinal estpoupée mobile, généralement désignée 36.

  En se référant maintenant à la figure 15, la poupée 26 porte sur les paliers de poussée 38 une broche rotative 40. La broche 40 peut recevoir un élément de mandrin amovible 42 qui à son tour maintient un élément de tonnelle 44. La broche, le mandrin et la tonnelle sontagencés pour tourner à l'unisson et dans une position fixe axialement.

  La broche 40 porte un engrenage 46 qui engrène avec un engrenage menant 48 calé sur un arbre creux 50, qui est également logé dans la poupée 26 sur des roulements 52. L'arbre 50 porte une poulie d'entraînement 54 à son extrémité gauche qui est reliéepar une courroie 56, figure 9, avec un moteur électrique 58 qui peut être connecté à une ligne d'alimentation électrique appropriée par le contrôleur de moteur habituel, non représenté. La poupée 26 porte également une barre de réglage de la vis 60 pour localiser précisément le travailla tête 32 le long des chemins 28. A cette fin, la barre 60 est montée dans la poupée pour une rotation relative axialement fixe par rapport à la poupée et est enfilée dans un bossage 62, FIGURE 17, sur la tête de travail 32.

  La contre-pointe 36 porte sur des paliers de butée 64 une broche 66 ayant un élément de serrage 68 et un arbre amovible 70. La broche, le mandrin et l'arbre sont agencés pour une rotation conjointe dans une relation axiale fixe par rapport à la contre-pointe 36 qui coulisseles voies 28. La broche 66 porte un engrenage 72 qui engrène avec un engrenage menant 74 qui est cannelé sur l'arbre creux 50.

  A son extrémité droite sur la figure 15, la poupée mobile 36 est fixée à une tige de piston 76 qui a à son extrémité droite un piston 78 pouvant coulisser dans un cylindre 80 qui est fixé dans le support 30. Une plaque de recouvrement 82 porte une tige emballage 84et un raccord hydraulique 86. À son extrémité droite, le cylindre 88 est fermé par un cylindre intensificateur 88. Des tiges 90 appropriées permettent de serrer la plaque d'extrémité 82, le cylindre 80 et le multiplicateur 88 en position sur le support 30.Le cylindre intensificateur 88 fournit un raccord hydraulique 92 à l'extrémité droite du cylindre 80. Le raccord 92 pénètre radialement à travers une bague 94 qui reçoit le vérin 96 qui coulisse dans la bague 94 dans le but de la fermer.la connexion 92 et l'intensification de la pression hydraulique dans le cylindre 80. Le vérin 96 est actionné par un piston de grande surface 98 qui peut coulisser dans un cylindre 108 ayant des connexions hydrauliques 182 et 184 à ses extrémités opposées. Air appropriédes vannes de purge, telles qu'indiquées en 186, peuvent être prévues aux points hauts des différentes chambres de fluide.

  En se référant maintenant aux figures 11 et 17, la tête de travail 32 comprend une pièce moulée de base globalement triangulaire 108 qui comporte trois bossages cylindriques 110 munis d'alésages internes 112 pour la réception de béliers 114 de support de rouleaux à mouvement alternatif.

  L'extrémité interne de chaque vérin 114 est conçue comme une chape 116 pour la réception d'un tourillon 118 sur lequel un rouleau de formage 120 est monté par des paliers antifriction appropriés. Des rainures de clavette appropriées, non représentées, empêchent la rotation relativede béliers 114 dans leurs alésages 112. La fermeture de l'extrémité extérieure de chaque alésage 112 est une coupelle de cylindre 122 dans laquelle coulisse un piston 124 fixé au vérin de support de galet 114. Des raccords hydrauliques 126 et 128 sont prévus pour chaque extrémité du cylindre.le cylindre 130 dans lequel coulisse le piston 124. La coupelle de cylindre 122 porte également une goupille d'arrêt réglable 132 dans laquelle elle est filetée en 134 et présente une partie d'étanchéité cylindrique 136. La goupille d'arrêt 132 fait saillie à travers le piston 124 etporte un collier d'arrêt 138 à son extrémité intérieure qui limite la course intérieure du vérin 114. Le cadre 108 de la tête de travail 32 peut porter un vérin ajustable 140 pour supporter le poids de la tête de travail 32 indépendamment des voies 28.

  La coulée de châssis 108 peut également porter une plaque de butée amovible 142 pour positionner une pièce de travail axialement de la machine dans un poste de chargement préliminaire, qui sera décrit ultérieurement.

  En se référant maintenant aux figures 9, 10 et 18, la poupée mobile 36 porte un mécanisme pour retirer les pièces finies qui sont indiquées en pointillé en 144 en figure 18 de la figure 18. Des barres de rail appropriées 146 (figure 17) sont montées sur la pièce. tête 32pour soutenir la pièce au début et à la fin de l'opération de laminage. Le dispositif d'enlèvement de la pièce comprend une barre à crochets 148 qui est fixée à un bras 150 à mouvement de va-et-vient longitudinal qui participe également à l'oscillation à travers unepetit arc pour mettre en prise et désengager la pièce 144, voir figure 17. Le bras 150 est porté par une tige 152 montée à la fois en mouvement alternatif et en rotation dans un long bossage de palier 154 monté sur la contrepointe 36, figure 10.la tige 152 comporte un collier d'arrêt 156 qui bute normalement sur l'extrémité gauche du coussinet de palier 154. À son extrémité droite, la tige 152 porte un collier 158 et un bouton de butée renforcé 160. Un ressort de compression 162 maintient normalement la tige 152la position illustrée sur la figure 18 de sorte que la tige 152, le bras et le crochet de pièce 148 puissent se déplacer vers la droite sur la figure 18 en tant qu'unité jusqu'à ce que le bouton de butée frappe l'extrémité interne d'une cupule de butée 164, figure 9, montée de manière rigide surle support 30.

  La tige 152 est cannelée comme indiqué en 166 sur la figure 18 dans le but de s'engrener avec des dents de crémaillère formées sur un piston à double effet 168. Ce dernier est alternatif dans un cylindre 170, représenté sur la figure 12, qui fait partie intégrante du cylindre.bossage de palier 154. Des goupilles d'arrêt réglables 169 limitent la course du piston 168, et des raccords 171 et 173 sont prévus pour les extrémités du cylindre 170. De ce fait, la tige 152 peut osciller pour faire basculer le bras 150 et le crochet 148 dans et vers l'extérieurd'engagement avec la pièce à travailler 144. Une goulotte de distribution 172, FIGURE 9, peut être prévue pour porter les pièces finies à l'avant de la machine, où elles peuvent être livrées à un réceptacle ou à un transporteur approprié.

  Dans le but d'alimenter automatiquement les ébauches de pièces dans la position à former par laminage, le mécanisme de chargement, représenté en particulier sur les figures 12, 13, 14, 18 et 19, est prévu. Il comprend un socle fixe 175 solidaire dula surface supérieure de la plaque 12 sur laquelle est monté le corps 174 d'un moteur hydraulique destiné à faire osciller un bras de chargeur 176. Le bras 176 est fixé à un arbre 178 qui est logé sur des paliers antifriction 180 dans le corps 174. Le bras 176porte une pièce de réception recevant une poche 182 ouverte aux deux extrémités. Une vis de butée réglable 184 sur le socle 175 limite la course du bras du chargeur dans le sens antihoraire, comme représenté sur la figure 12, à une position où la poche 182 est dansligne avec l'axe de la poupée 44. A l'autre limite d'oscillation du bras 176, une vis d'arrêt 186 positionne la poche 182 dans l'alignement d'un plongeur alternatif 188. Le plongeur 188 est en alignement axial avec une ébauche de pièce 190positionné sur un support en forme de crochet 192, figure 14, formé au fond d'une goulotte d'alimentation 194 qui est montée sur le socle 175.

  Dans le but d'actionner le plongeur 188, un moteur hydraulique à mouvement alternatif comprenant le cylindre 196 est monté sur un support 177 fixé au socle 175. Un piston à double effet 198, coulissant dans la tige de gauche, peut coulisser dans le cylindre 196.200 porte le piston 188. Le piston 188 forme une butée pour le déplacement du piston 198 vers la gauche, comme le montre la figure 18. A l'extrémité droite du piston 198, une tige 202 porte un collier de butée réglable 204 formantbutée variable pour le mouvement à gauche du piston 198. Des raccords hydrauliques appropriés 206 et 208 sont prévus aux extrémités opposées du cylindre 196.

  Pour faire osciller le bras de chargeur 176, l'arbre 178 est muni d'un pignon 210 qui engrène avec des dents de crémaillère formées sur une paire de pistons à simple effet 212 et 214. Ces derniers sont alternatifs dans les cylindres 216 et 218, respectivement.qui sont formés dans le corps de moteur 174. Un couvercle d'extrémité 220 a des connexions hydrauliques 222 et 224 pour les cylindres respectifs.

  Dans le but de motiver les différentes parties mobiles de la machine comportant les moteurs hydrauliques décrits jusqu'à présent, il est fourni une unité d'entraînement mécanico-hydraulique 226 qui peut être sous la forme d'une unité autonome.ensemble unitaire monté sur la plaque supérieure 12 de la base 10. L'unité d'entraînement 226 comprend un moteur électrique 228 qui est agencé pour entraîner une transmission à deux vitesses à commande automatique contenue dans une boîte à engrenages 230 ayant un boîtier de changement de vitesse232.

  Une unité de pulsation hydraulique à plusieurs sections 234 est reliée à la boîte à engrenages 230 avec un arbre à cames 236 entraîné par la transmission et portant une pluralité de cames 238, dont les suiveurs actionnent les pistons émetteurs 240 dusections respectives du pulsateur. Chaque piston va et vient dans un cylindre 242 ayant une tête 244 qui contient un clapet anti-retour de remplissage et une soupape de décharge haute pression, qui communiquent tous les deux avec une huile à basse pression.réservoir formé dans l'unité 234. Un boîtier de came électrique 246 est situé sur le côté opposé de la transmission 230 et contient une came entraînée de manière synchrone avec l'arbre de came 236.

  La construction de l'unité d'entraînement mécano-hydraulique: et ses circuits électriques associés est schématisée à la figure 22. Le moteur électrique 228 entraîne l'arbre d'entrée 248 de la transmission à deux vitesses par l'intermédiaire d'une transmission à courroie.250. L'arbre d'entrée 248 entraîne un pignon 252 ainsi que l'élément d'entrée d'un embrayage à ressort libéré engagé hydrauliquement 254. Le pignon 252 entraîne un engrenage 256 fixé à l'arbre intermédiaire 258 qui porte le pignon 260 à son extrémité opposée. Pignon260 entraîne l’engrenage 262 et constitue ainsi un ensemble d’engrenages de changement de vitesse situés dans l’enceinte 232. L’engrenage 262 entraîne l’élément d’entrée d’un second embrayage 264 à relâchement hydraulique libéré par ressort. Les éléments entraînés des embrayages 254et 264 sont fixés aux extrémités opposées d'un arbre 266 portant une vis sans fin 268 et un tambour de frein 270. Ce dernier comporte un moteur hydraulique 272 sollicité par ressort pour engager le frein. La vis sans fin 268 entraîne une vis sans fin whee-1 274 fixée à l'arbre à cames236.

  Afin de contrôler automatiquement le démarrage, l'arrêt et la vitesse de la transmission, il est prévu une pompe de commande hydraulique 276 entraînée par le pignon 262, qui peut faire circuler un corps d'huile contenu dans la boîte de vitesses 230 pourfins de contrôle et de lubrification. La pompe 276 peut alimenter un accumulateur et une soupape de décharge combinés comprenant un piston 278 à ressort et alimenter en huile un groupe de vannes de commande 280, 282 et 284. Dans les schémas, chaque vanneest représenté par une vanne à deux positions, sollicitée par un ressort dans la position illustrée dans laquelle les connexions représentées dans les rectangles hachurés sont établies. Les flèches à une tête sont utilisées pour indiquer le débit à la pression du réservoir et le doubleles flèches en tête pour indiquer le débit à la pression de refoulement de la pompe. Chacune des vannes, lorsqu'elle est décalée, établit les connexions indiquées dans les rectangles non hachurés immédiatement sous les rectangles hachurés.

  La vanne 280 est agencée pour être déplacée par un solénoïde 286. Les vannes 282 et 284 sont agencées pour être déplacées par les cames réglables 288 et 290, respectivement, qui sont positionnées sur l'arbre de cames 236. En outre, la vanne 282 a une fonction hydraulique.le cylindre de maintien 292 qui maintient la soupape 282 dans sa position décalée jusqu'à ce qu'il soit libéré par le basculement de la soupape 284. La soupape 280 dans la position illustrée délivre du fluide sous pression pour engager le frein 272 et également en échappement pour se libérer.l'embrayage à faible vitesse 264. Lorsqu'elle est déplacée, la soupape 280 épuise le fluide pour libérer le frein 272 et fournit du fluide sous pression pour engager l'embrayage à faible vitesse 264, sous réserve toutefois d'une commande conjointe de la soupape 282.

  Cette dernière soupape, dans la position illustrée, évacue le fluide pour libérer l'embrayage à grande vitesse 254 et place l'embrayage à basse vitesse 264 sous le contrôle de la soupape 280. Dans sa position décalée, la soupape 282, à condition que la soupape 280 ait étédécalée, délivre du fluide sous pression pour mettre en prise l'embrayage à grande vitesse 254 et épuise le fluide pour libérer l'embrayage à basse vitesse 264. Comme expliqué précédemment, la soupape 284 est simplement une soupape de réinitialisation pour contourner le cylindre de maintien 292 afin de permettre à la soupape282 pour revenir à sa position sollicitée par un ressort représentée sur les dessins.

  Ainsi, l'activation du solénoïde 286 démarrera la rotation de l'arbre à cames à vitesse lente. Ensuite, la came 288 changera la transmission pour entraîner l’arbre à cames à grande vitesse et plus tard encore, la came 290 changera à nouveau la transmission.vitesse lente. Tant que le solénoïde 286 reste excité, l'arbre à cames 236 continuera à tourner, d'abord à faible vitesse puis à grande vitesse à chaque tour, en contrôlant sa propre vitesse de rotation par le fonctionnement des cames 288.et 290.

Afin de commander le moteur d'entraînement 228 et le solénoïde 286, il est prévu un circuit de commande électrique connecté entre une paire de lignes d'alimentation électrique désignées L et L Le circuit peut comprendre un relais maître 294 dutype de maintien ayant un interrupteur général de démarrage manuel 296 atterrissez un interrupteur général d’arrêt manuel Le relais 294 commande le moteur 228 ainsi qu'un relais de commande de cycle 300 du type à maintien comportant un commutateur de démarrage de cycle manuel 302 et un cycle manuel.interrupteur d'arrêt 304. Les contacts normalement ouverts du relais 300, qui sont du type fabrication avant pause, commandent directement l'alimentation du solénoïde de cycle 286. Les contacts normalement fermés du relais 300 commandent également le solénoïde 286, mais sont ensérie avec un commutateur à cames 306 prévu dans le boîtier à cames 246 'et agencé pour être ouvert une seule fois pendant un tour de l'arbre à cames 236. Le dispositif est tel que lorsque le commutateur d'arrêt de cycle 304 est actionné en tout point de la rotationL'arbre de came 236, le relais 300 sera déconnecté mais le solénoïde 286 restera alimenté jusqu'à ce que le commutateur de came 306 s'ouvre au point d'arrêt prédéterminé. Le fonctionnement de l’interrupteur d’arrêt général 298 désactive le solénoïde 286 immédiatementquel que soit le point du cycle et désénergisera également le moteur 228.

  Comme mentionné précédemment, l'arbre à cames 236 entraîne un certain nombre de sections de pulsateur hydraulique actionnées par des cames désignées par i. Chaque section peut comprendre un cylindre de pulsation à simple effet 242 dont la tête 244 contient:le clapet anti-retour de remplissage 308 et un clapet de décharge fermé par un ressort 310. Tous les clapets de remplissage et de décharge sont reliés à un réservoir d'huile commun 312 qui peut être formé dans le boîtier de l'unité 234 et est de préférence soumis àpression atmosphérique supérieure par un corps d'air comprimé ou un autre dispositif de maintien de pression. Les clapets anti-retour 30 8: permettent l'écoulement du réservoir 312 vers le cylindre 242 tandis que les vannes de décharge 310 permettent l'écoulement de manière opposée lorsque le cylindrela pression dépasse une certaine valeur.

  La section de pulsation a est reliée par une ligne de colonne de liquide fermée 314 à la connexion de tête 104 du cylindre intensificateur 100. Les sections de pulsation b et c sont connectées en parallèle par une ligne de cavalier 316 qui est elle-même connectée.par une ligne de colonne de liquide fermée 318 avec la connexion 92 pour le cylindre 80. Les sections d, e et f sont connectées individuellement à l'un des orifices de connexion 128 des cylindres de support de rouleaux 130 * par leur colonne de liquide fermée respective.lignes 319, 320 et 3-22. La section de pulsateur g est reliée par une ligne de colonne de liquide fermée 324 au raccord 171 du cylindre pour l'extracteur de pièces. Section de pulsateur Il est connectée par une ligne de colonne de liquide fermée 326-avec la connexion 206 du cylindre 196 pour le poussoir à blanc. La section de pulsateur i est reliée par une conduite de colonne de liquide fermée 328 au raccord 222 du cylindre 216 qui actionne le bras du chargeur.

  La figure 22 représente plusieurs cercles marqués R0 et reliés aux extrémités des différents cylindres moteurs qui sont opposés aux connexions de la colonne de liquide. Ces symboles désignent les raccords de retour d'huile au moyen desquels chaqueLe circuit du pulsateur est polarisé hydrauliquement de manière à maintenir le suiveur en contact étroit avec la came lorsque la partie en baisse du contour de la came s'éloigne du suiveur. Ce biais est maintenu par l'accumulateur haute pression ou l'huileréservoir 24 qui, comme le montrent les figures 7, 8 et 9, est pourvu d'un tuyau collecteur de grand diamètre 330 qui s'étend à travers le sommet de la plaque 12 et qui est muni d'un certain nombre de robinets de sortie 332. Les raccords de plomberie par lesquelsces prises sont reliées aux points repérés R0 sur la figure 22 et ont été omises des vues illustrées de la machine pour des raisons de clarté. Il en va de même pour les lignes de colonne de liquide fermées pour les sections de pulsateur a à1'. Ces connexions peuvent être établies conformément aux pratiques habituelles de plomberie. De même, les contours des cames individuelles 23 et 8 ne sont pas illustrés plus en détail car ils peuvent être formés conformément à la pratique habituelle.pour motiver chacun des moteurs hydrauliques respectifs en fonction du cycle de fonctionnement particulier de la machine. De même, le rapport de vitesse entre les vitesses haute et basse de l’arbre à cames 236 et la durée de lala partie à grande vitesse d'un cycle peut être sélectionnée comme souhaité par l'utilisation des changements de vitesse appropriés 260-262 et par le réglage des cames 288 et 298.

  En fonctionnement avec les réservoirs 24 et 312 remplis d’huile et avec un corps d’air comprimé à des pressions respectivement élevées et basses, et avec une alimentation en ébauches tubulaires remplissant la goulotte d’alimentation 134, l’interrupteur de démarrage principal296 est fermé pour démarrer le moteur 228 de l'unité de commande mécano-hydraulique. Lorsque le moteur d'entraînement de broche 58 est démarré, un cycle peut être lancé en actionnant le commutateur de début de cycle 3'82. Cela active le relais 3% qui à son tour excitel'électrovanne 286 pour déplacer la soupape de démarrage 280 et provoquer le fonctionnement de l'arbre à cames 236 à sa faible vitesse, comme expliqué précédemment.

Un endroit commode pour démarrer un cycle est avec le bras de chargeur 176 relevé à la position montrée à la figure 12 et avec la contrepointe 36 rentrée vers la droite sur les figures 7, 9 et 15. Avec une ébauche de pièce en position dans la poche 182 , le bet les pulsateurs de section ajouteront leurs déplacements pour projeter le piston 78 vers la droite sur la figure 22, propulsant ainsi la poupée mobile vers la gauche sur la figure 15. L'arbre 70 est pourvu d'un noyau de petit diamètre 334 et d'unépaulement de diamètre intermédiaire 336, FIGURE 20, qui pénètre dans la pièce brute 190 et la pousse hors de la poche 182 du bras du chargeur sur les rails 146. L'arbre 44 a également un noyau de petit diamètre 338 dans le but d'êtredécrit.

  Lorsque la poupée mobile atteint la position illustrée sur les figures 7, 9 et 15, la came de déclenchement de vanne 290 décale la vanne de réinitialisation 284 puis la libère. Ceci n’a cependant aucun effet pendant le tour initial, car la soupape à grande vitesse 282est resté dans la position représentée sur la figure 22 lors du démarrage initial de l'arbre à cames 236. À peu près à la même heure, la section de pulsation a commence à projeter le piston intensificateur 98 et le vérin 96 ferme le port d'entrée 92 et commence àintensifier la pression dans le cylindre 80. Ceci crée un effet de serrage serré sur l'ébauche de pièce 190, comme le montre la figure 20, dans laquelle l'ébauche est serrée entre les épaulements 340 et 342 sur les arbres 70 et 44, respectivement.

  Cela provoque la rotation de l'ébauche avec les axes qui sont entraînés depuis le moteur 58 par l'intermédiaire de la courroie 56, de l'arbre creux 50 et de l'engrenage 46-48 et 7274. A peu près au même moment, la section de pulsation 1 'commence à se rétracter, permettant le retour d'huilepour propulser le piston 214 vers la gauche dans la flGURE 22, ramenant ainsi le bras de chargeur 176 dans sa position contre le sommet 186 sur la figure 12, dans lequel la poche 182 est alignée avec le piston de chargement 188. Cette course est complétée environmilieu de l’opération de profilage.

  Également à ce moment-là, les sections de pulsateur d, e et commencent à propulser les supports de rouleaux vers l'intérieur, amenant les rouleaux 120 à former la pièce à travailler dans la forme représentée en coupe transversale sur la figure 21, comme décrit plus en détail ci-après.

  Lorsque le bras du chargeur atteint sa position rétractée, le piston de chargement est avancé de la section de pulsateur h qui fournit de l'huile au piston 198 qui le propulse vers la gauche. La section de pulsateur a recule en conséquence rapidement, permettant ainsi le retour.de l'huile pour rétracter le piston intensificateur 98. De même, les sections de pulsateur d, e et f reculent, permettant à l'huile de retour de rétracter les pistons de support de rouleau 124. Cette fois également, la section de pulsateur peut s'escamoter permettantrenvoyer le piston 198 pour le piston de chargement. Lorsque ceci est terminé, la pile d'ébauches dans la goulotte d'alimentation 194 s'abaisse pour remplir l'espace libre au bas de la pile.

  À peu près au moment où ces courses sont terminées, les sections de pulsateur b et c peuvent reculer, permettant ainsi à l’huile de retour de renvoyer la contre-pointe 36 en déplaçant le piston 78 vers la gauche sur la figure 22. Pendant le premier mouvement de la contre-pointe 36,le crochet extracteur 148 se déplace avec la poupée mobile et est en prise avec la pièce finie 144. Ceci extrait la pièce du noyau 338 et la fait glisser le long des rails 146 jusqu'à ce qu'elle tombe dans la goulotte de distribution 172.La poupée mobile atteint un point au milieu de sa course de rétraction, le mouvement des figures 18 et 22. Ceci pousse une nouvelle pièce brute dans la poche 182 du bras du chargeur. Au cours de cette dernière opération, le pulsateurla section g peut actionner le piston 168 vers la gauche sur la figure 22 ou vers la droite sur la figure 12 pour faire basculer le bras 150 et l'extraction ou le crochet 148 contre une pièce finie 144, la tige de l'extracteur 152 est brusquement arrêtée par butée lale bouton 161 à l'extrémité droite de la tige 152 avec le bas du gobelet de butée 164, figure 9, et le mouvement supplémentaire de la poupée mobile 36 comprime simplement le ressort 162.

  À peu près au même moment, la section de pulsateur g recule, permettant ainsi à l'huile de retour de déplacer le piston 168 vers la droite sur la figure 22 et vers la gauche sur la figure 12, faisant ainsi basculer le crochet de l'extracteur 148 vers le haut jusqu'à la position illustrée sur la figure 12.Dès que cette course est terminée, la partie de pulsation i commence à entraîner le piston 212 à gauche sur la figure 22, élevant ainsi le bras du chargeur 176 dans la position illustrée sur la figure 12 avec une ébauche de pièce neuve dans la poche 182 prête pour une utilisation ultérieure.nouveau cycle pour commencer.

  Ce nouveau cycle est une répétition de celui décrit précédemment sauf que l'avance de la poupée mobile 36 est rapide car l'arbre à cames 236 tourne toujours à grande vitesse. Lorsque la came de soupape 290 déclenche la soupape 284, la soupape à grande vitesse 282est rétablie dans la position illustrée à la FIGURE 22 et les mouvements suivants ont lieu à vitesse lente.

  On comprendra que les circuits de pulsation sont maintenus dans leur relation de phase prédéterminée par l'intermédiaire des vannes de réapprovisionnement d'action 388, des vannes de décharge 310 et des butées de fin de course agencées pour chacune des pièces.dispositifs à motivation hydraulique. Le déplacement volumétrique de chaque piston émetteur 240 sur toute la plage de la course générée par les montées et les descentes de sa came 23-8 est choisi de telle sorte qu'il y ait une petite quantité supplémentairedéplacement au-delà de celui de son moteur hydraulique correspondant lorsque celui-ci parcourt la course maximale entre ses butées limites de butée. Ainsi, par exemple, sur la section de pulsation i, le bras de chargement 146 peut être décalé de la butée186 à arrêter 184 par le piston 212 sans nécessiter le déplacement complet du piston émetteur 240 pour la section i. Le petit excès de volume {: 15 est évacué par la soupape de décharge 310 vers le réservoir de réapprovisionnement 312 tandis que le bras 146s'appuie contre la butée 184. Lors de la course de retour du bras 176, lorsque le piston de l'émetteur recule, le piston du moteur 212 renvoie son déplacement volumétrique d'origine au cylindre de l'émetteur avant que le piston de l'émetteur 240 ne soitcomplètement rétracté. Au cours de la rétraction restante du piston 240, la faible pression suratmosphère maintenue dans le réservoir de réapprovisionnement 312 ouvrira le clapet anti-retour de réapprovisionnement 308, permettant ainsi de remplir à nouveau la colonne de liquide 328.volume initial et maintien serré du piston 240 et de son suiveur en contact avec la came 238. Parallèlement, tout volume d’huile perdu par fuite a été remplacé par la vanne de réapprovisionnement 308.

  L'action des autres sections du pulsateur est similaire à celle décrite, excepté que dans le cas de la section a, la soupape de décharge 310 s'ouvre tôt dans la course d'avancement du piston 98, comme déterminé par le réglage de pression de la soupape de décharge.par rapport au fléchissement des pièces de la machine, à la compressibilité de l'huile et au rendement en compression de la pièce à traiter sous l'action de laminage. Dans tous les cas, cependant, la même quantité de liquide perdue de laLa colonne de pulsation à travers la soupape de décharge 310 et par une fuite sur la course en avance est renvoyée à la colonne de liquide pendant la dernière partie de la course en retrait par la soupape de réapprovisionnement 308.

  Lors de l'exécution d'une opération de laminage telle que celle illustrée sur les figures 20 et 21, la machine peut être configurée et réglée de manière à obtenir certains résultats nouveaux et hautement souhaitables. Par exemple, lors de la formation d’un composant poussoir de soupapeayant une gorge ou une cannelure dans sa section médiane et un diamètre réduit à une extrémité, tel que représenté sur la figure 21, un tube soudé en acier ordinaire à faible teneur en carbone peut être utilisé comme ébauche de pièce 190. En disposant la longueur entreles épaulements 340 et 342 des axes 44 et 70 de sorte que la pièce, lorsqu’elle a été initialement contactée, ne permette pas aux noyaux 334 et 338 de se toucher, il est assuré que la pièce est bien serrée entre les épaules pour obtenir un contact positif.rotation par friction des arbres. Cet espacement initial des noyaux d'arbre peut être modifié pour produire divers effets sur l'épaisseur des sections de paroi annulaires qui joignent les parties réduites et non réduites du produit fini.article, comme il sera décrit plus tard.

  La présente méthode envisage de maintenir une pression suffisamment élevée sur les extrémités du flan pour empêcher une expansion en bout ou même pour provoquer une contraction en bout pendant le processus de laminage. Dans le premier cas, comme illustréSur les figures 20 et 21, on peut voir l'effet de la présente méthode de laminage à partir d'une comparaison des figures 23 à 28. Sur les figures 23 et 26, la découpe 190 est représentée sous sa forme non réduite et avec son épaisseur de paroi d'origine T-l. Dansen réduisant les diamètres intérieur et extérieur aux conditions indiquées sur les figures 24 et 27, sans permettre aucune expansion en bout de la pièce, il en résulte un épaississement de la paroi à la valeur T-Z, laquelle est plusieurs pour cent supérieure àT-l. Ceci est provoqué par un compactage circonférentiel du métal sous l'action de laminage répété. Pour y parvenir, la progression radiale des rouleaux vers l'intérieur est relativement lente pour chaque tour. Il a été trouvé ded’expérience, il faut faire tourner la pièce d’un certain nombre de révolutions pendant la progression des rouleaux de la position FIGURE 23 à celle de la FIGURE 24. Une pièce dans les proportions indiquées approximativement sur les dessins peutprenez environ 50 tours dans une tête de travail à trois rouleaux pour l'amener dans la tonnelle.

  Le point auquel la progression des rouleaux est arrêtée est tel que l'arbre 334 est en contact avec la paroi interne de la pièce et permet ainsi d'obtenir une taille, une forme, une concentricité et une finition précises de l'intérieur. Il estIl est toutefois important que les points d’arrêt des supports de rouleaux soient réglés avec précision de manière à éviter tout amincissement du mur en le faisant rouler entre l’arbre et le rouleau de travail. Cette action indésirable est illustrée aux figures 25 et28. On voit ici que l'action de pincement entre les rouleaux 1.20 et le noyau d'arbre 334, si elle est poursuivie, amincira le mur jusqu'à une épaisseur T-3 et, comme la pièce ne peut pas se dilater en bout, elle s'étendra dans une direction circonférentielle. Cecrée un espace entre l’arbre et le mur, comme indiqué en 344, amenant la pièce à prendre une forme non circulaire pendant le déroulement du roulement.

  Dans les sections de paroi annulaires qui relient les sections réduites aux sections non réduites, l'épaisseur variera progressivement de T-l dans la partie externe à T-2 dans la partie interne où le procédé illustré à la figure 21 estc’est-à-dire que la pression de l’intensificateur est maintenue à une valeur qui empêche simplement une expansion en bout de la pièce brute. Cependant, un procédé modifié peut également être exécuté, comme illustré à la figure 29, dans lequella pression de l'intensificateur est maintenue à une valeur supérieure, de sorte que l'arbre 70 est forcé vers l'arbre 44 pendant l'opération de roulement. A cette fin, le noyau 334 'est plus court que le noyau 334 et les rouleaux de formage peuvent être légèrement en formePar conséquent, les rouleaux 120 ont un épaulement légèrement surélevé 346 qui recouvre l'extrémité de la section d'épaulement 336 et une partie légèrement légèrement surélevée 348 plus à gauche. Ceux-ci servent à presser leles parois des sections de paroi non réduites dans les sections de paroi annulaires en 350 et 352, respectivement, de sorte que lorsque les rouleaux se rapprochent de leurs positions finales, ces épaulements 346 et 348 entrent en contact avec la partie non réduitel’arbre '70 avance à gauche sous la pression d’accumulateur plus élevée. Cela raccourcit la longueur totale de la découpe et donne des épaulements radiaux relativement droits sur les parois internes de l'anneau.sections 350 et 352, fournissant un stock supplémentaire pour les opérations ultérieures de la machine, si désiré.

  On verra ainsi que la présente invention fournit un appareil de laminage amélioré qui reçoit automatiquement des pièces brutes tubulaires et les convertit sans autre manipulation manuelle en composants formés de forme souhaitéede manière économique et efficace.

  L'invention fournit également un procédé amélioré pour former des pièces tubulaires avec des parois de différents diamètres et épaisseurs le long de leurs longueurs, ce qui donne un produit amélioré.

  Bien que la forme de réalisation de l'invention telle que décrite ici constitue une forme préférée, il faut comprendre que d'autres formes pourraient être adoptées, toutes entrant dans le cadre des revendications qui suivent.

  prétendre:

  1. Machine pour former une configuration prédéterminée sur la surface intérieure d'une pièce à travailler à parois généralement tubulaires qui a initialement une surface interne non finie dimensionnellement supérieure à ladite configuration prédéterminéecomprenant un arbre de finition rotatif d'une configuration correspondant à ladite configuration prédéterminée, une broche pour supporter en rotation la pièce de travail dans une relation télescopique concentrique autour de l'arbre, des moyens formant unplusieurs supports de rouleaux pouvant être décalés de manière transversale, un rouleau de forme monté sur chaque support pour une rotation conjointe avec la pièce à travailler, une pluralité de moteurs hydrauliques individuels, un pour chacun des supports, reliés pour déplacer lesdes supports de va-et-vient, une pluralité de dispositifs de transfert de mouvement du type à colonne de liquide alimentés par une came rotative et commandés, un pour chacun des moteurs hydrauliques, connectés pour faire fonctionner les moteurs hydrauliques, et des moyens à arbre à cames communs pour entraîner ledes dispositifs de transfert à l'unisson pour décaler les supports de rouleaux de manière transversale afin de faire rouler la paroi de la pièce de travail progressivement vers l'intérieur entre la pluralité de rouleaux de formage et pour terminer le déplacement transversal juste après la rotationLa surface du mur de la pièce établit un contact périphérique complet avec la tonnelle, mais avant tout amincissement notable du mur de la pièce.

  2. Machine pour former une cannelure dans une pièce à usiner tubulaire comprenant une poupée ayant une broche rotative et une contrepointe ayant une broche rotative, des moyens de puissance pour entraîner au moins une des broches, des moyens pour placer etenlèvement de pièces entre lesdites broches, un moteur hydraulique pour faire fonctionner lesdits moyens de placement et de retrait, un arbre épaulé porté par une broche et ayant une section de noyau plus petite que l'alésage de la pièce, un moteur hydraulique pourdécalant axialement l'un par rapport à l'autre pour serrer une pièce entre les broches, moyens formant une pluralité de supports de rouleaux, dont l'un au moins peut être déplacé radialement, un rouleau de forme logé sur un support pouvant être déplacé,moteur hydraulique pour déplacer le support de rouleau pour forcer le rouleaudans la pièce à travailler et un facteur de motivation mécanico-hydraulique du type à cames rotatives et à colonne de liquide relié aux moteurs hydrauliques pour les actionner en fonction du tempsfaites rouler la paroi de la pièce vers l'intérieur tout en maintenant les extrémités serrées pour empêcher la dilatation des extrémités.

  3. Machine de contraction de tubes comprenant un châssis comportant un ensemble de chemins, une poupée fixe fixée au châssis, un élément de poupée mobile pouvant coulisser vers et depuis les chemins, des broches coaxiales montées de manière rotative dansen relation axiale avec chaque support, des moyens pour entraîner les deux broches de manière synchronisée, une pluralité de supports de rouleaux montés sur des éléments mobiles pour se déplacer transversalement vers et à distance des broches, un élément éjecteur de travail mobile comprenantune barre pouvant coulisser longitudinalement par rapport à la poupée mobile et ayant un élément mobile s'engageant dans la pièce à travailler pouvant basculer dans et hors de la relation d'engagement, un moyen maintenant de manière élastique la barre en relation fixe avec la poupée mobile, une butée surla machine pour arrêter l'éjecteur à mi-course de la poupée mobile afin d'éjecter une pièce de la broche de la poupée mobile, et un système de programmation et d'actionnement de cycle combiné connecté pour actionner les éléments mobiles en relation temporisée.

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